Notre équipe vient de trouver cet encart sur la thématique « la justice ». Avec régal nous vous en diffusons le principal ici.
Son titre saisissant (un avocat en renfort des rsidents ddith-Augustin) résume tout le texte.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable pour d’autres articles qu’il a publiés sur le web.
La crédibilité est ainsi grande concernant ce post.
Texte d’origine :
La CGT Territoriaux annonce de nouvelles actions contre la fermeture de la rsidence autonomie dith-Augustin.
Au 53e jour d’occupation de la résidence autonomie Édith-Augustin, menacée de fermeture (ainsi que la crèche familiale) par le CCAS de la Ville de Poitiers, les syndicalistes de la CGT Territoriaux affichent leur détermination : « On reçoit de plus en plus de soutien, y compris au niveau national. Si la mairie pense qu’on s’essouffle, c’est tout le contraire. » Ils sont toujours mobilisés avec les assistantes maternelles de la crèche familiale : une rencontre avec la maire est programmée la semaine prochaine.
À Édith-Augustin, tout en continuant les animations conviviales avec les résidents, les occupants mobilisent à tous les niveaux : médiatiques, jusqu’à la presse nationale ; politiques, avec des visites comme celle réalisée hier par Alain Baché, conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine (où il préside le groupe Communiste, écologique, citoyen) ; syndicales, avec le renfort de l’Union locale interprofessionnelle et de l’Union départementale ; et juridiques, grâce à l’implication de l’avocat Philippe Brottier.
« Cet avocat propose gratuitement ses services à l’ensemble des résidents, annonce Vincent Bohan, de la CGT Territoriaux. Sur les 53 résidents, 41 ont déjà signé un mandat pour qu’il les représente, et d’autres signatures sont en cours. Il est venu leur expliquer la procédure : il estime que la situation ne rentre pas dans les clauses de résiliation du contrat de location qu’ils ont chacun signé avec le CCAS, et qu’ils ont donc droit à une indemnisation. Les résidents souffrent aussi d’un préjudice moral. Si ça va jusqu’au bout de ces procédures, ça va coûter cher à la collectivité ! »
Et si la démarche juridique s’inscrit dans un temps long, la CGT compte bien marquer les esprits dans un délai beaucoup plus rapproché : « Avec les camarades des unions locale et départementale, on a prévu des actions coup de poing dans les prochains jours. Nous attendons une décision de la collectivité : si elle n’en prend pas, on va en prendre d’autres ! »
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